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Les tours de Notre-Dame qui cachent les conflits

Bernard Hasquenoph | 8/12/2025 | 10:33 |


La réussite du chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, démentant les pronostics les plus pessimistes, masque cependant des conflits entre l’Eglise et l’Etat, préexistants à l’incendie et toujours pas résolus.

08.12.2025 l RIEN À REDIRE. Le nouveau circuit des tours de Notre-Dame de Paris, gérés par le Centre des monuments nationaux (CMN) comme avant l’incendie, est bien pensé. Débutant désormais par la tour sud, côté Seine, la montée des 424 marches se fait en plusieurs étapes, ce qui permet de reprendre son souffle. La scénographie sobre, signée de l’agence Nathalie Crinière incontournable dans l’univers muséal, propose plus de contenu qu’auparavant, agrémentée, par endroits, d’une bande-son discrète.

L’escalier à double révolution conçu par l’architecte en chef du monument, Philippe Villeneuve, est une réussite. Élégant, il permet de monter à travers la charpente du beffroi supportant les cloches au lieu de continuer d’emprunter le petit escalier en colimaçon d’où l’on ne voit rien (comment les pompiers ont-ils fait durant l’incendie pour monter par un boyau aussi étroit ?!). Spectaculaire. Et sans polémique pour un ajout moderne, allez savoir pourquoi, qui plus est dans une partie médiévale de l’édifice.

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Entrée des tours de Notre-Dame, 2025 l Escalier à double révolution, 2025

On a toujours accès au sommet d’une des tours, mais “encagé”, expérience tout à fait supportable. Très belle vue, y compris sur la flèche restituée. En redescendant, on peut jeter un œil sur la nouvelle charpente de la nef à travers une vitre depuis la cour des citernes, plateforme entre les deux tours. Puis la descente se poursuit par la tour nord pour déboucher dans la rue du Cloître-Notre-Dame. Belle visite d’environ trois quart d’heures.

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Sommet des tours de Notre-Dame, 2025 l Cour des citernes, 2025

UNE AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VISITE
Depuis la réouverture de Notre-Dame, une grande attention est portée à l’accueil du public, déficient avant l’incendie. Ce dont toutes les parties prenantes avaient conscience, Eglise, Etat comme Ville. Une réflexion commune avait été engagée pour améliorer la situation. La catastrophe a été un accélérateur de transformation. Aujourd’hui, le Diocèse de Paris a mis en place tout un système pour réguler l’accès, gratuit, à la cathédrale : réservation en ligne recommandée, gestion des files d’attente à l’extérieur, signalétique, personnel d’accueil…

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Gestion des fluxs pour entrer à Notre-Dame

Un poste de responsable des publics a même été créé, à la tête d’une armée de bénévoles et d’une trentaine d’employé·es recruté·es grâce au mécénat d’Adecco, en majorité en CDI, pour la boutique et l’accueil [1]. Par ailleurs, l’Eglise a confié la sécurité du site à la société privée ULTREIA fondée par Albéric Dumont, pilier du mouvement de la Manif pour tous. Le CMN, institution nationale, a donc amélioré le parcours de visite des tours. Quant à la Ville de Paris, propriétaire du parvis, elle transformera bientôt le parking souterrain en espace d’accueil avec toilettes et vestiaires, un grand manque auparavant.

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Parvis de Notre-Dame, 2025

Autre amélioration, l’harmonisation du mobilier d’accueil de la cathédrale et des espaces muséographiques en faisant appel au même prestataire scénographique, l’agence Nathalie Crinière, et à la même agence de graphisme C-Album, bien qu’il s’agisse de marchés distincts, sous la maîtrise d’ouvrage de deux organismes différents : le Diocèse de Paris pour le comptoir d’accueil, la boutique de souvenirs dans l’église et de la muséographie du Trésor ; le CMN pour le parcours de visite des tours.

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Signalétique, tours et nef de Notre-Dame, 2025

Situé dans la sacristie néogothique conçue par Eugène Viollet-le-Duc avec du mobilier toujours en place, l’espace du Trésor est visitable depuis l’intérieur de la cathédrale et permet de découvrir des objets historiques et liturgiques précieux.

DES RETARDS EN RAISON DE CONFLITS D’USAGE...
Pourtant, un point reste inchangé, c’est l’absence d’un billet couplé Tours + Trésor au désavantage du public, d’autant que les tarifs d’entrée ont fortement augmenté depuis l’incendie. Pour accéder aux tours, il en coûte désormais 16 euros contre 10 auparavant et 12 euros contre 4 pour la visite du Trésor ! De plus, les critères de réduction et de gratuité, peu pour le diocèse, sont totalement différents. De quoi rendre perplexes les touristes.

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Tarifs du Trésor et des tours de Notre-Dame, 2025

Le diocèse, pas très charitable, applique une réduction de 6 euros aux « enfants de moins de 12 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, prêtres et religieux » et la gratuité uniquement avec membres de l’ICOM / ICOMOS et aux personnes en situation de handicap avec accompagnant·e. Pour les tours, le CMN applique la gratuité aux publics habituels dans les musées et monuments gérés par l’Etat (-18 ans, 18-25 ans de l’UE + résident·es, chômage, minima sociaux, handicap, guides, journalistes, etc). Ces différences de traitement interroge sur la légalité de dérogations aux règles d’accès à un monument intégralement national, d’autant que la plupart des objets exposés, classés, sont propriété de l’Etat.

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Entrée de la sacristie, circuit des tours de Notre-Dame, 2025

Cette situation difficilement compréhensible est le reflet non avoué d’importants enjeux économiques et de conflits larvés entre le CMN (l’Etat) et le diocèse (l’Eglise), situation préexistante à l’incendie et dont on ne trouvera que peu d’écho dans la presse, pour ne pas dire pas du tout. Je l’avais évoquée dans un article en 2018, alors que le diocèse recherchait des fonds pour restaurer Notre-Dame en sous-financement de l’Etat, sujet qui n’intéressait alors pas grand monde. Ce qui m’avait valu un appel téléphonique un peu gêné de l’ancien président de l’établissement public. Une partie des explications, on les trouve aujourd’hui dans les rapports que la Cour des comptes a consacrés au chantier post-incendie de Notre-Dame en 2020, 2022 et 2025 et dans les réponses des organismes concernés, loin du storytelling qu’on nous sert depuis 2019, réactivé en cet anniversaire de sa réouverture.

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Village du chantier de Notre-Dame, 09.2023

La réouverture des tours a été reportée à deux reprises. D’abord prévue pour coïncider naturellement avec celle de Notre-Dame en décembre 2024, elle a été repoussée à l’été 2025 pour finalement avoir lieu en septembre, à l’occasion des Journées du patrimoine. A l’origine de ces retards, le Diocèse de Paris qui, pour que la commission de sécurité puisse opérer, devait d’abord donner son accord. Or, il le refusait pour des « difficultés rencontrées en raison de conflits d’usage », dixit le représentant de l’archevêque lui-même lors d’un conseil d’administration de l’établissement public en 2023.

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Circuit de visite des tours de Notre-Dame, 2025

Quand la commission put enfin intervenir, elle retoqua le projet du CMN, notamment pour la localisation de sa boutique qui se retrouve du coup en début de parcours, avant l’essentiel des marches à monter, ce qui constitue un très mauvais positionnement commercial. Elle est d’ailleurs fort peu achalandée. D’autre part, la « découverte tardive de désordres » dans le beffroi sud, nécessita des travaux non prévus, à savoir le remplacement de poutres rongées par l’humidité.

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Circuit des tours de Notre-Dame et boutique, 2025

Une répartition des responsabilités que conteste la présidente du CMN dans sa réponse à la Cour des comptes, affirmant que c’est l’établissement public qui, coordinateur des travaux, n’a pas été en mesure de programmer à temps ceux du beffroi. Quant à l’archevêque de Paris, il soutient tout bonnement que « l’accord de l’affectataire, requis par la loi, n’a pas été recueilli pour les modifications apportées au positionnement du parcours de visite des tours, de sorte qu’il ne peut être considéré comme responsable d’un quelconque retard dans l’ouverture du circuit ». Ambiance…

DES COÛTS EN FORTE AUGMENTATION
Toujours est-il que le nouveau parcours des Tours enfin validé ne permit pas d’accepter la jauge de 700 000 entrées visée annuellement par le CMN contre 450 000 avant l’incendie. Jauge ramenée à 400 000 pour raisons de sécurité. Ce que la présidente, Marie Lavandier, fait habilement passer aujourd’hui pour une volonté du CMN d’« offrir un [meilleur] confort de visite » [2].

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Publics des tours de Notre-Dame, 2025

En réalité, c’est une bien mauvaise nouvelle pour l’institution qui comptait ainsi augmenter substantiellement ses recettes de droit d’entrée pour « l’un des sites les plus populaires du réseau » selon l’ancien président du CMN, Philippe Bélaval. En 2018, dernière année de pleine exploitation avant l’incendie, le site avait rapporté 3 millions d’euros pour plus de 476 000 visites. Maintenant, il devait faire face au coût global des travaux de refonte du parcours s’élevant à 3,6 millions d’euros, à sa charge et non ponctionnés sur les dons collectés pour restaurer la cathédrale endommagée.

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Circuit des tours de Notre-Dame, 2025

De plus, le CMN doit justifier les 11 postes supplémentaires obtenus afin d’assurer la surveillance d’un site plus que jamais sensible, dans des horaires étendus tard le soir, plus qu’auparavant. Tout ceci justifierait l’augmentation du tarif d’entrée, d’autant que le CMN aurait perdu 2 millions d’euros à cause des reports de la réouverture [3].

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Intérieur de Notre-Dame de Paris, 2025

Même chose du côté du Diocèse de Paris pour qui les coûts de fonctionnement de la cathédrale lui revenant comme affectataire cultuel, devraient doubler au regard des travaux entrepris (installations techniques, sûreté), pour atteindre 3,17 millions d’euros annuellement selon les estimations. Ce qui justifie l’augmentation du droit d’entrée au Trésor. On ignore combien rapportait jusque-là sa visite. Différentes sources officielles évoquent de 300 000 à 400 000 entrées avant l’incendie. Qu’en sera-t-il avec un tarif augmenté de 300% ? Parions que la fréquentation restera élevée, compte tenu celle de la cathédrale depuis sa réouverture, atteignant les 11 millions d’entrées en 2025.

UNE OUVERTURE DE BOUTIQUE ILLÉGALE
Quant à la boutique du diocèse, impossible de connaître son chiffre d’affaires (pas de réponse à notre mail), qui doit être conséquent vu qu’elle est située dans la nef même, aujourd’hui parfaitement positionnée en fin du parcours, redessinée par l’agence Nathalie Crinière en forme de 8 autour de deux piliers, ouverte 7 jours sur 7 et extrêmement bien achalandée. Avant l’incendie, selon le magazine du diocèse, « ses bénéfices couvraient plusieurs salaires, les audioguides, l’accueil de groupes de jeunes, une partie de l’organisation des concerts » [4]. Le journal Les Échos évoquait de bonnes ventes dont 80 000 chapelets écoulés à l’année ! [5] Chapelet qui reste le produit phare, de 12 euros pour le « chapelet officiel de la réouverture » à 20, 34... jusqu’à 350 euros pour un chapelet plaqué or, en pierres cubiques de cristal Swarovski.

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Boutique de Notre-Dame, chapelet officiel de sa réouverture, 2025

Opérationnelle dès la réouverture au public, elle a de suite été prise d’assaut, décrivait Le Parisien. Et, apprend-t-on avec surprise de la Cour des comptes, hors de tout cadre légal ! « Sans titre ». Pas plus que la visite du Trésor, puisque la convention entre l’Etat (CMN) et le diocèse en vue d’encadrer les activités non cultuelles dans la cathédrale n’a été signée que le 17 février 2025… avec prise d’effet rétroactive au 7 décembre 2024. Elle avait été pourtant adressée en temps et en heure, au printemps 2024, à l’Église, laquelle n’a réagi que l’avant-veille de la réouverture au public le 8 décembre 2024. « Cette convention permet dorénavant à la gestion de Notre-Dame de Paris d’être en conformité avec la loi, ce qui constitue un progrès incontestable », conclut diplomatiquement la Cour.

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Boutique de Notre-Dame, chapelet à 350€, 2025

La répartition des charges, elle, a été l’objet de discussions avec l’Etat « parfois ardues » révèle encore l’institution. Au point qu’un accord, acté en bonne et due forme, n’est intervenu que le 6 décembre 2024, veille de la cérémonie de réouverture. Ce qui, compte tenu du langage utilisé dans ce type de rapport, suggère des échanges particulièrement vifs. Et la situation est loin d’être réglée puisque, dans sa réponse, l’archevêque estime injustifiée la prise en charge exclusive par le diocèse des dépenses liées à la protection générale de l’espace public « dont le coût a été multiplié par plus de 7 depuis l’incendie ».

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Intérieur de Notre-Dame, 2025

Le représentant de l’Eglise tient à rappeler que « la cathédrale Notre-Dame de Paris est entièrement affectée au culte catholique » et que « l’édifice forme un tout indissociable ». En clair, si le CMN peut exploiter le circuit des tours de la cathédrale, c’est parce que le diocèse le veut bien. C’est oublier que, selon la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’Etat, l’un comme l’autre ne devraient pas pouvoir monnayer l’entrée d’une quelconque partie de la cathédrale. L’article 17 stipule bien que « la visite des édifices et l’exposition des objets mobiliers classés seront publiques : elles ne pourront donner lieu à aucune taxe ni redevance ».

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Intérieur de Notre-Dame, 2025

Ce n’est qu’en 2006, après des années d’exploitation en toute illégalité des tours et du trésor selon un arrangement tacite entre l’Eglise et l’Etat, qu’on s’est souciés de trouver un habillage juridique à la pratique, introduisant dans le code général de la propriété des personnes publiques « une disposition clarifiant les conditions de l’utilisation des édifices du culte à des fins non cultuelles » selon la Cour des comptes. L’article L. 2124-31 prévoit ainsi que « lorsque la visite de parties d’édifices affectés au culte, notamment de celles où sont exposés des objets mobiliers classés ou inscrits, justifie des modalités particulières d’organisation, leur accès est subordonné à l’accord de l’affectataire ». Une convention doit donc être signée entre les parties, ce qui n’était pas le cas jusque-là. « Cet accès ou cette utilisation donne lieu, le cas échéant, au versement d’une redevance domaniale dont le produit peut être partagé entre la collectivité propriétaire et l’affectataire ». Une curieuse disposition qui permettrait ainsi de contourner la loi de 1905, on ne sait trop comment.

DES SIÈCLES DE PRATIQUE COMMERCIALE
Pour autant, l’Eglise dispose d’autres ressources pour assurer le lourd fonctionnement de Notre-Dame. Les travaux post-incendie lui ont permis de moderniser ses modes de paiement, possible désormais également à l’aide d’une carte bancaire, même pour une simple bougie à 2€ avec suggestion systématique d’une « offrande complémentaire » à 2, 10, 30, 50€...

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Achat de bougie à Notre-Dame, comptoir d’accueil avec audioguide, 2025

D’autre part, au début du circuit imposé de visite, le public tombe sur un comptoir d’accueil proposant un audioguide à 6€ en plusieurs langues. A plusieurs endroits du parcours, surtout à la fin, on trouve des bornes pour acheter des médailles souvenirs à 3 et 5€. Enfin, après la boutique, pour clore la visite, une grande urne permet de procéder à des dons pour « participe[r] à faire vivre ce lieu ». Une offre commerciale bien pensée. Il faut dire que l’Eglise a des siècles de pratique en la matière.

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A Notre-Dame : bornes à médailles, urne à dons, 2025

Autant de raisons qui explique en partie l’opposition du Diocèse de Paris à la proposition de la ministre de la Culture Rachida Dati de faire payer l’entrée de la cathédrale. L’argent revenant dans ce cas à l’Etat, son système de recherche de ressources s’effondrerait. Une opposition donc, pas seulement pour des questions spirituelles ◆

:: Bernard Hasquenoph | 8/12/2025 | 10:33 |

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NOTES

[1] « Au service de Notre-Dame », Vincent Mongaillard, Le Parisien, 15.12.2024.

[2] « Les tours de Notre-Dame de Paris, sauvées des flammes, rouvrent au public à l’occasion des Journées du patrimoine », Laurent Carpentier, Le Monde, 20.09.2025.

[3] Curieusement, cette dernière information est apportée par le président de la Fondation du patrimoine, dans sa réponse à la Cour des comptes.

[4] Paris Notre-Dame, 05.03.2020.

[5] « Notre-Dame de Paris : entretien, rénovation, fonctionnement, qui paie quoi ? », Martine Robert, Les Echos, 16.04.2019.



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