Le dernier message publié, semblant vouloir concilier l’inconciliable, m’incite à écrire sur ce sujet qui me tient beaucoup à coeur. Certes, les projets d’Haussmann, en leur temps ont connu des oppositions et ils ont modifié radicalement la capitale. Mais les enjeux n’avaient rien à voir avec le projet d’extension de Roland-Garros, et une telle référence ne peut éclairer la question qui nous occupe. Paris souffre d’asphyxie, dans tous les sens du terme. Les parcs et jardins, dès qu’il fait beau, sont envahis, tant les gens sont avides de respirer un peu mieux, d’admirer et de profiter de la beauté (...)